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Quatre enfants font une découverte mystérieuse sur leur planète natale qui les conduit à se perdre dans une galaxie étrange et dangereuse. Jude Law dans “Skeleton Crew” et d’autres étoiles d’une galaxie lointaine, très lointaine. Le cirque holographique qui divertit les jeunes frères et sœurs de Neel est le même que celui que la famille de Chewbacca regardait dans le tristement célèbre Star Wars Holiday Special (1978). Présenté dans le Crazy Cartoon d’AniMat Casting : Silly Old Deadly Bear (2022). Je n’arrive pas à comprendre pourquoi Obi Wan et The Acolyte semblent moins chers que cette série. Du point de vue de la production, Skeleton Crew a été la première série Star Wars depuis un certain temps à être expansive, complète et amusante. Malgré tout le manque de passion ressenti en tant que spectateur de Star Wars depuis un certain temps, le dernier endroit où je m’attendrais à sentir que cette propriété intellectuelle se rachète était une série pour enfants. Mes films/séries Star Wars préférés ont toujours été les plus sombres, les épisodes 5 et 3, Andor, certaines parties de Rogue One et The Mandalorian. Mais Skeleton Crew capture une perspective qui a cruellement manqué à Star Wars : les enfants. Je ressens un sentiment d’émerveillement, d’aventure et d’enjeux que je n’avais pas apprécié dans cet univers depuis un certain temps. C’est aussi, de manière assez épuisante, la seule série dirigée de manière réfléchie qu’ils aient produite en dehors d’Andor et d’une bonne poignée de The Mandalorian. Il y a de vraies scènes, une véritable évolution des personnages, il manque une scène qui raconte une histoire au lieu de simplement ressembler à “Star Wars”. Star Wars a toujours été destiné aux enfants autant qu’aux adultes – l’ironie est qu’il leur a fallu créer une série pour enfants pour nous rappeler que l’art de raconter des histoires de base existe toujours chez Disney. Continuez à faire des séries comme celle-ci pour les enfants, et continuez à faire des séries comme Andor pour les adultes. C’est le fait de se placer au milieu qui a continuellement fait chuter le ton des autres entrées – Obi Wan en est un parfait exemple. La série n’avait aucune idée de qui était son public et s’est mal engagée à essayer de faire entrer tout le monde. Boba Fett est un autre exemple qui me vient à l’esprit. Félicitations aux showrunners pour avoir apporté quelque chose de nouveau à Star Wars. Bien sûr, fortement influencé par l’ère des enfants à vélo – mais une nouvelle approche de cet univers accueillie avec joie par moi-même et mon partenaire. “Cent ans de solitude” est l’une des plus grandes premières télévisées et en streaming de ce mois. Consultez notre calendrier de décembre pour en savoir plus !
